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Le livret A se définit comme un produit d’épargne très sollicité en France. D’ailleurs, certains aspects de ce livret réglementaire se veulent méconnus des épargnants.
Tout savoir sur le livret A
En France, le livret A se veut un produit d’épargne réglementé en France. Il a été créé en 1818 et est géré par la Caisse des Dépôts et Consignations (CDC).
D’ailleurs, son montant maximal est plafonné. Ce plafond est fixé par les autorités publiques et peut être modifié de façon périodique et son taux de rémunération est fixé par les pouvoirs publics.
Ce dernier se voit révisé deux fois par an, en janvier et en juillet, en fonction de l’inflation et des taux du marché. Les fonds déposés sur un livret A sont généralement disponibles à tout moment et il n’y a pas de période de blocage.
Cela en fait une forme d’épargne liquide. Sachez que les intérêts générés par un livret A se veulent exonérés d’impôt sur le revenu et de prélèvements sociaux.
Quant aux conditions d’ouverture, le livret A peut se voir ouvert dans la plupart des banques, des caisses d’épargne, et à La Poste. Sachez qu’il est accessible à tous, sans conditions de revenu.
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Utilisé comme un moyen d’épargne sûr et liquide, le livret A présente bien des avantages. D’ailleurs, il peut aussi se voir ouvert pour des mineurs, avec l’accord d’un représentant légal.
Plusieurs options possibles
Aujourd’hui encore, le livret A fait office de placement préféré des Français en raison de son taux de rémunération alléchant. Cependant, certains aspects de ce livret réglementaire se disent méconnus des épargnants.
En cette période de crise marquée par une forte inflation, les méthodes d’épargne se multiplient. Parmi eux figure le livret de développement durable et solidaire (LDDS) mais aussi le livret d’épargne populaire (LEP).
En France surtout, les épargnants sont nombreux à avoir choisi de placer de l’argent sur un livret A en raison de sa simplicité d’utilisation. De plus, ce livret réglementaire se veut sans risque puisqu’il se dit garanti par le gouvernement.
Il convient donc de respecter le seuil de dépôt maximal aujourd’hui fixé à 22 950 €. Mais alors, une fois ce plafond est atteint, que doit-on faire ?
Pour de nombreuses personnes, la réponse à cette question ne se veut pas claire. En effet, les établissements bancaires n’apportent pas toujours de précisions concernant les alternatives disponibles auprès de leurs clients.
Une fois ce seuil franchi, vous pouvez continuer à alimenter votre compte. Cependant, les sommes déposés ne bénéficieront plus du taux d’intérêt de 3 %. Autrement dit, le surplus se voudra donc instantanément rejeté par votre banque.
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Cette méthode pour faire fructifier votre livret A
En France, certaines institutions bancaires sont donc en mesure de facturer les frais liés au transfert d’argent vers un autre compte. Cela n’est donc pas bon pour l’épargnant. Alors, pour éviter les mauvaises surprises, il est donc primordial de lire attentivement les conditions du contrat.
Lorsque le plafond est atteint, de nombreux Français sont nombreux à sauvegarder leur argent à l’intérieur du compte courant. Ce qui n’est pas intéressant pour eux, ni pour les banques.
Il se veut donc préférable d’opter pour les autres solutions d’épargne proposées par les banques, à savoir le LEP et le LDDS. Il faut cependant retenir que pour ces épargnes sont souvent inférieurs à celui du livret A.
De plus, la capacité d’épargne se veut limitée à cause du seuil maximal fixé par les banques. C’est pourquoi il est important de connaître ce que chaque service propose avant de placer son argent.
Pour le savoir, prenez rendez-vous avec un conseiller concernant les critères d’éligibilité. Votre conseiller saura trouver l’option la plus adaptée à votre situation.
Sachez que les banques ne vous en parlent pas, mais vous pouvez souscrire à un plan d’épargne en actions. Mais ce n’est pas tout, puisque les contrats d’assurance-vie sont également des placements fructueux.
Même son de cloche pour le PER (plans d’épargne retraite). Ces derniers peuvent aider les épargnants à profiter de meilleurs avantages sur le plan fiscal grâce à des investissements de fonds communs et des obligations. Renseignez-vous auprès de votre banque.