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Depuis quelques semaines, un rapport de Greenpeace fait réagir. Il questionne la place des fruits et légumes dans nos paniers. Entre envie de naturel et prix serrés, vous cherchez des repères.
Ce que dit Greenpeace sur les fruits et légumes
Selon l’ONG, certaines pratiques restent à risque. Ainsi, des contrôles révèlent des traces de pesticides sur des lots. Le rapport signale deux enseignes à éviter, sans exonérer les autres. Pour se situer, les chaînes comparent leurs engagements sur les fruits et légumes.
Greenpeace s’appuie sur des engagements publics et des retours de terrain. De plus, l’analyse regarde les promesses et leur suivi réel. Les filières pommes ou salades restent sensibles, d’après les acteurs. Par conséquent, la pression des consommateurs pèse sur les choix agronomiques.
Pourquoi la question inquiète les foyers qui achètent des fruits et légumes
Les familles veulent protéger les enfants, sans faire exploser le budget. Pourtant, les résidus inquiètent à cause d’expositions répétées. La préparation limite une partie du risque sur les fruits et légumes. Aussi, la saison et l’origine guident souvent l’achat.
« Le droit à une alimentation saine ne devrait pas dépendre du magasin. »
Dans les rayons, les allégations varient beaucoup selon les marques. Ainsi, un logo rassure parfois, mais le protocole compte plus. Demandez la méthode, le nombre d’analyses, et les seuils retenus. En bref, une promesse claire doit s’accompagner de preuves.
Le lavage, l’épluchage et la cuisson réduisent certains résidus. De plus, alterner les origines et les variétés dilue l’exposition. Diversifier ses achats de fruits et légumes reste une stratégie simple. Par conséquent, chaque geste additionne un gain prudent et mesurable.
- Privilégiez les produits de saison et locaux quand c’est possible.
- Lisez les mentions techniques : protocole, nombre d’analyses, laboratoires.
- Préfèrez des variétés robustes, moins traitées historiquement.
- Rincez longuement, épluchez si la peau concentre des résidus.
- Variez les espèces et les origines sur la semaine.
Où en sont les enseignes et les producteurs de fruits et légumes
Les distributeurs publient des chartes et des objectifs datés. Ainsi, certains parlent de filières de fruits et légumes en « transition bas pesticides ». Le terme 0 résidu existe, mais ce n’est pas un label public. En revanche, des audits tiers apportent plus de garanties.
À lire60 millions de consommateurs dénonce cette grosse arnaque sur les fruits et légumes qui peut toucher tout le mondeChez Monoprix, le programme Tous Cultiv’ Acteurs mise sur la réduction mesurée des traitements. Il s’applique aux fruits et légumes avec des suivis réguliers à la ferme.
Carrefour met en avant des fruits et légumes sélectionnés pour limiter les traitements. Aussi, un effort porte sur les pommes et les pommes de terre.
La transparence reste le vrai sujet pour tout le monde. Désormais, les clients attendent des données lisibles et datées. En revanche, une simple affiche ne suffit plus. Par conséquent, la traçabilité du champ à l’étal devient décisive.
Ce que vous pouvez faire en magasin pour choisir des fruits et légumes plus sûrs
Arrivez avec une courte liste de priorités santé et prix. Ainsi, ciblez les produits où des alternatives existent en rayon. Regardez les QR codes quand ils renvoient vers des analyses. Aussi, n’hésitez pas à poser des questions précises.
Faites la part entre marketing et contrôle documenté. De plus, demandez l’année, le nombre de lots, et les seuils analytiques. Pour un panier agile, alternez bio, conventionnel, et circuits courts de fruits et légumes. En bref, variez les sources selon les promos et la saison.
Zoom sur les offres en cours autour des fruits et légumes
Chez Auchan, l’enseigne annonce moins de vingt variétés « sans pesticides » à ce stade. Ainsi, l’offre progresse, mais elle reste ciblée sur quelques références.
Ces mentions « sans pesticides » recouvrent des réalités différentes. Aussi, vérifiez si la promesse vise la culture, le produit fini, ou les deux. Demandez qui mesure, quand, et avec quelle sensibilité d’analyse. Par conséquent, le détail de protocole vaut plus qu’un slogan.
À lireFruits et légumes: Greenpeace épingle 2 enseignes de supermarchés à éviter en France pour pesticidesChez Casino, l’offre « sans pesticides » couvrirait moins de vingt variétés, selon la communication récente. La démarche Agriplus concerne à la fois le frais et le surgelé.
Le paysage bouge vite, sous l’effet de la demande et des contrôles. Désormais, les cahiers des charges se renforcent campagne après campagne. En revanche, la vigilance citoyenne reste un levier concret. Ainsi, poser des exigences claires aide toute la filière à avancer.
Crédit photo © DivertissonsNous
