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Le rêve de gravir l’équivalent de l’Everest à vélo vous intrigue. L’Everesting transforme cette intuition en défi structuré et mesurable. Ainsi, chacun peut tenter sa chance, avec méthode et prudence.
Comment fonctionne l’Everesting, pas à pas
Le principe de l’Everesting est clair : cumuler 8 848 m de dénivelé positif sur une même montée, en une seule activité enregistrée. Ainsi, on choisit une côte, on la monte, puis on redescend, et on recommence jusqu’au total visé. Le fichier GPS sert de preuve, et la communauté valide la tentative selon des règles simples. De plus, route, gravel, VTT ou home-trainer virtuel restent des supports possibles selon les formats.
Seul le dénivelé positif compte, la descente ne s’ajoute pas au total. En revanche, la pente doit rester régulière pour tenir un rythme stable. Aussi, la sécurité guide le choix : trafic modéré, revêtement fiable, virage de demi-tour sécurisé. Ainsi, un segment court et fluide limite les risques et l’usure.
La logistique pèse lourd dans la réussite : éclairage fiable, nourriture accessible, et zone de pause au pied de la côte. Pourtant, la météo peut tout bousculer : vent contraire ou chaleur changent la donne. Par conséquent, on prévoit un plan B de parcours et d’horaires. L’Everesting incite donc à une préparation réaliste, ancrée dans le terrain.
« La règle est simple : une montée, autant de fois que nécessaire, jusqu’à 8 848 m. »
Préparation physique et mentale pour l’Everesting
L’entraînement cible la répétition d’efforts en côte, sur des durées maîtrisées. Ainsi, on travaille l’endurance, puis on ajoute des blocs en montée à intensité modérée. De plus, on teste sa nutrition en situation, pour éviter les surprises le jour J. Par conséquent, la charge augmente progressivement, avec une semaine allégée avant la tentative.
À lirePlafond du PER 2025: hausse officielle, économisez plus d’impôts avec des déductions jusqu’à 10% de vos revenusLe mental se construit par la routine : mêmes gestes, mêmes repères, mêmes pauses. En bref, on découpe la journée en cycles de montées et d’alimentation. Aussi, un mot d’ordre aide : partir lentement pour finir lucide. Cependant, un plan d’abandon responsable reste prévu si la sécurité se dégrade.
- Objectif : 8 848 m D+ sur une seule activité.
- Parcours : même montée, descente de retour, circulation sûre.
- Rythme : intensité modérée, régularité, pauses courtes.
- Alimentation : programme horaire testé, hydratation continue.
- Preuve : fichier GPS propre et batteries de secours.
Stratégie de parcours et chiffres clés de l’Everesting
Le choix de la pente décide de la journée. Ainsi, une rampe à 6–10 % facilite la cadence, sans exploser les jambes. En bref, une montée de 1 à 3 km limite la vitesse en descente et l’inertie aux demi-tours. Pour un Everesting, une côte abritée du vent vaut souvent mieux qu’un col spectaculaire.
Everesting — Classic Arm Warmer Midnight Black (Accessoire cyclisme ; tailles XXS à XXXL ; 26,00 €). Ainsi, ces manchons gardent la chaleur dans les descentes et stabilisent la température quand l’effort repart, montée après montée.
Calculez le nombre de répétitions avant de partir. Par conséquent, si votre côte offre 150 m de D+, visez environ 59 répétitions. Aussi, estimez le temps d’une boucle, puis multipliez par le total, avec une marge météo et technique. De plus, programmez une micro-pause toutes les 60–90 minutes pour anticiper les baisses.
Nutrition, hydratation et assistance
Votre carburant dicte l’allure, surtout sur un Everesting. Ainsi, la plupart des cyclistes tolèrent 60 à 90 g de glucides par heure, répartis entre boissons, gels et aliments simples. De plus, buvez régulièrement, même par temps frais, pour soutenir l’absorption. Par conséquent, fixez des rappels nutrition toutes les 15–20 minutes.
Un proche peut gérer ravito, batteries et signalisation au point de retournement. Aussi, préparer des sacs “heures 1–4” limite la charge mentale. En revanche, restez souple si la météo change : ajustez vêtements et intensité. Ainsi, vous conservez lucidité et marge de sécurité jusqu’aux dernières boucles.
L’Everesting aujourd’hui : formats, règles et sécurité
Plusieurs variantes existent, mais la règle centrale demeure : atteindre 8 848 m de dénivelé positif sur un même segment. Désormais, on trouve des versions en course à pied, en VTT et en virtuel. De plus, un “Basecamp” reprend l’idée à mi-hauteur, soit 4 424 m, pour s’initier. Cependant, la validation exige un enregistrement continu et des données cohérentes.
Everesting — Classic Bib Shorts Men Midnight Black (Vêtement cyclisme ; tailles XXS à XXXL ; 150,00 €). Par conséquent, ce cuissard mise sur le maintien et le confort de selle lors des heures répétées, y compris quand la cadence baisse la nuit.
À lirePensions de retraite : les caisses avancent le paiement en décembre, versement possible avant Noël selon la caisseLa sécurité prime du départ à la dernière descente. Ainsi, privilégiez un éclairage puissant, des éléments réfléchissants et un demi-tour hors circulation. De plus, informez un proche, partagez votre trace en direct et fixez des seuils d’arrêt. En bref, vous rentrez fier si tout s’est bien passé, mais aussi prudent si la route impose de remettre l’effort à plus tard.
Crédit photo © DivertissonsNous


