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Un récent test du magazine 60 Millions de consommateurs alerte sur certaines marques de café vendues en grande surface. Le rapport soulève des risques liés à des contaminants et des modes de préparation, sans paniquer mais avec des conseils concrets pour agir. Ainsi, les consommateurs peuvent ajuster leurs choix en rayons sans renoncer à leur rituel.
Ce que révèle l’enquête en supermarché
Le panel étudié couvre des cafés moulus, en grains, en capsules et un décaféiné. Selon le magazine, 6 références posent question en raison de composés indésirables. De plus, les niveaux varient selon les lots, la torréfaction et l’emballage. En bref, les marques de café ne se valent pas toujours sur le plan sanitaire.
Les analyses évoquent des résidus possibles issus des cultures, mais aussi des composés créés lors de la torréfaction. Ainsi, l’acrylamide et certains furanes peuvent apparaître à haute température. En revanche, le respect des seuils officiels et la variabilité naturelle complexifient la lecture. Les marques de café listées sont donc pointées comme « à risque » par prudence.
Bellarom — Café moulu (Supermarché). Selon le test, cette référence est citée parmi les produits à éviter, en raison de signaux jugés préoccupants. Pour autant, la marque peut améliorer ses contrôles et sa traçabilité afin de réduire les composés indésirables.
« Boire un bon café, c’est possible, à condition de mieux choisir et de varier ses habitudes. »
Quels risques et comment les limiter
Les substances ciblées par les laboratoires ne sont pas toujours visibles ni perceptibles au goût. Pourtant, leur présence récurrente justifie une vigilance accrue, surtout pour une consommation quotidienne. Ainsi, varier les origines, les types de torréfaction et les formats limite l’exposition. Par conséquent, un roulement entre marques de café reste une stratégie efficace.
À lireRevenu mensuel net: en France en 2025, la classe moyenne d’une personne seule va de 1 608 € à 2 941 €Le mode de préparation compte aussi. Un filtre papier retient une part des composés, ce qui réduit l’ingestion finale. De plus, un rinçage du premier jet peut aider, surtout avec certaines machines. Aussi, l’attention portée aux marques de café décisive au moment de l’achat aide réellement.
- Vérifier les mentions d’origine et de torréfaction.
- Privilégier un filtre papier pour les extractions quotidiennes.
- Alterner les formats: moulu, grains, capsules selon l’usage.
- Faire tourner les références pour éviter la répétition d’exposition.
- Surveiller les retours de tests indépendants et les mises à jour.
Alter Eco — Café en grains (Supermarché). Le magazine signale cette référence dans sa liste de vigilance, en rappelant l’intérêt de moudre à la demande et d’aérer la mouture. Parmi les marques de café étudiées, elle illustre l’importance du suivi des lots et des conditions de conservation.
Zoom sur les références pointées en rayons
Le rapport souligne que les écarts de qualité sanitaire tiennent souvent à la chaîne complète, de la ferme à la tasse. Ainsi, le séchage, la torréfaction et le conditionnement influencent les marqueurs de risque. De plus, une capsule n’a pas la même inertie qu’un sachet sous vide. Les marques de café évoluent, et les reformulations peuvent corriger le tir.
Planteur des Tropiques — Capsules (Supermarché). Cette gamme est citée dans les résultats comme à surveiller en priorité, selon les critères retenus. En revanche, un usage occasionnel et la rotation des achats limitent l’exposition potentielle.
Le test insiste sur la lecture fine des résultats. Ainsi, un dépassement ponctuel ne vaut pas condamnation définitive d’une référence. Aussi, la pression publique accélère souvent les améliorations industrielles. Les marques de café sont ainsi poussées à publier plus d’informations.
Carte Noire — Capsules (Supermarché). La marque apparaît dans la liste de produits jugés problématiques par l’enquête, surtout sur certaines capsules. Par prudence, mieux vaut varier les profils d’extraction et les origines, au sein des marques de café disponibles.
Décaféiné, bio, capsules: idées reçues à clarifier
Un décaféiné n’est pas automatiquement plus sûr sur tous les marqueurs. Ainsi, la méthode d’extraction de la caféine et la torréfaction comptent beaucoup. De plus, bio ne signifie pas absence de composés liés à la cuisson. Les marques de café doivent donc être lues à l’aune de critères multiples.
L’Or — Café décaféiné (Supermarché). Cette référence est mise en avant dans la sélection à risque, d’après les mesures publiées. En pratique, alterner avec un filtre papier et réduire la fréquence d’usage reste pertinent.
Conseils d’achat et alternatives fiables
Commencez par établir vos priorités: goût, budget, profil santé. Ainsi, vous pouvez classer vos choix en fonction du format et de l’usage. De plus, un café du matin n’exige pas la même intensité qu’un café d’après-repas. Les marques de café s’apprécient mieux quand on adapte la préparation à l’instant.
Auchan — Références bio (Supermarché). Certaines références bio sont citées parmi les produits problématiques dans l’enquête, malgré le label. En revanche, les lots changent, et un suivi régulier des analyses aide à affiner ses achats.
À lireMarques de café: 6 références de supermarché à éviter en France selon 60 Millions de consommateursComparez les étiquettes et les origines de façon méthodique. Ainsi, un café d’altitude, bien séché et bien torréfié, peut réduire certains marqueurs. Aussi, privilégier des quantités modestes évite un stockage trop long à la maison. Les marques de café gagnent en fiabilité quand la chaîne froide et le conditionnement sont soignés.
Gardez une routine de veille simple. Par conséquent, consultez les mises à jour des tests et notez les références qui progressent. De plus, ajustez la mouture et la température d’eau pour limiter les sur-extractions. Les marques de café deviennent alors un terrain d’essai éclairé, au service de votre santé et de votre plaisir.
Crédit photo © DivertissonsNous
